Le retour de l’Association culturelle “Assirem” du village Tifrit Nath Oumalek, commune d'Idjeur (ath yedjar) dans la daïra de Bouzeguène, a été positif puisque le 28e anniversaire du Printemps berbère a été dignement célébré.
Au programme, il y a eu une réception en l’honneur des deux retraités de l’éducation, Le directeur de l'école primaire M. Mouhoune mahand (dit m'hamed) et Chikhi hamid, les deux plus vieux et premiers enseignant du village en présence du P/APC et plusieurs autres invités. C’est ainsi que ce village a pu sortir de la monotonie en plongeant dans l’ambiance des festivités commémoratives. Une conférence a été animée par un enseignant autour du thème : la revendication identitaire. La cerise sur le gâteau a été selon Naim Sabi, secrétaire général de l’association, le gala artistique animé par les talents de la région, Chikhi Samir en tête [ “Nous remercions tous ceux qui ont contribué à la réussite des activités programmées ; cela pourrait servir de déclic pour notre jeunesse. Je fais dans ce sens appel aux autorités locales afin de venir en aide à cette association dont la raison d’être n’est autre que servir de cadre d’expression à plusieurs franges de notre société” ], nous dira M. Naïm Sabi qui nous donne rendez-vous pour d’autres activités.
L'association culturelle Assirem composé essentiellement de jeunes, à toujours tout fait pour se relever, compte aussi beaucoup sur la communauté émigrée du village, des aides promis depuis des années n'arrive toujours pas alors que des sommes d'argent sont investie dans des projets futiles sans aucun intérêt ni aucune vision d'anenir.
Des jeunes déçus mais qui ésperent toujours comme le dit si bien leurs association "ASSIREM " (espoir) : Tenez bon!..